dimarts, 1 de març de 2016

Le néolibéralisme est un fascisme. Il doit être combattu et un humanisme total doit être rétabli

Manuela Cadelli, présidente de l’Association syndicale des magistrats: Le temps des précautions oratoires est révolu; il convient de nommer les choses pour permettre la préparation d’une réaction démocrate concertée, notamment au sein des services publics. Le libéralisme était une doctrine déduite de la philosophie des Lumières, à la fois politique et économique, qui visait à imposer à l’Etat la distance nécessaire au respect des libertés et à l’avènement des émancipations démocratiques. Il a été le moteur de l’avènement et des progrès des démocraties occidentales. Le néolibéralisme est cet économisme total qui frappe chaque sphère de nos sociétés et chaque instant de notre époque. C’est un extrémisme. Le fascisme se définit comme l’assujettissement de toutes les composantes de l’État à une idéologie totalitaire et nihiliste. Je prétends que le néolibéralisme est un fascisme car l’économie a proprement assujetti les gouvernements des pays démocratiques mais aussi chaque parcelle de notre réflexion. L’État est maintenant au service de l’économie et de la finance qui le traitent en subordonné et lui commandent jusqu’à la mise en péril du bien commun.

L’austérité voulue par les milieux financiers est devenue une valeur supérieure qui remplace la politique. Faire des économies évite la poursuite de tout autre objectif public. Le principe de l’orthodoxie budgétaire va jusqu’à prétendre s’inscrire dans la Constitution des Etats. La notion de service public est ridiculisée.

Le nihilisme qui s’en déduit a permis de congédier l’universalisme et les valeurs humanistes les plus évidentes : solidarité, fraternité, intégration et respect de tous et des différences. Même la théorie économique classique n’y trouve plus son compte : le travail était auparavant un élément de la demande, et les travailleurs étaient respectés dans cette mesure ; la finance internationale en a fait une simple variable d’ajustement.

Déformation du réel


Tout totalitarisme est d’abord un dévoiement du langage et comme dans le roman de Georges Orwell, le néolibéralisme a sa novlangue et ses éléments de communication qui permettent de déformer le réel. Ainsi, toute coupe budgétaire relève-t-elle actuellement de la modernisation des secteurs touchés. Les plus démunis ne se voient plus rembourser certains soins de santé et renoncent à consulter un dentiste ? C’est que la modernisation de la sécurité sociale est en marche.

L’abstraction domine dans le discours public pour en évincer les implications sur l’humain. Ainsi, s’agissant des migrants, est-il impérieux que leur accueil ne crée pas un appel d’air que nos finances ne pourraient assumer. De même, certaines personnes sont-elles qualifiées d’assistées parce qu’elles relèvent de la solidarité nationale.

Culte de l’évaluation


Le darwinisme social domine et assigne à tous et à chacun les plus strictes prescriptions de performance : faiblir c’est faillir. Nos fondements culturels sont renversés : tout postulat humaniste est disqualifié ou démonétisé car le néolibéralisme a le monopole de la rationalité et du réalisme. Margaret Thatcher l’a indiqué en 1985 : « There is no alternative ». Tout le reste n’est qu’utopie, déraison et régression. Les vertus du débat et de la conflictualité sont discréditées puisque l’histoire est régie par une nécessité.

Cette sous-culture recèle une menace existentielle qui lui est propre : l’absence de performance condamne à la disparition et dans le même temps, chacun est inculpé d’inefficacité et contraint de se justifier de tout. La confiance est rompue. L’évaluation règne en maître, et avec elle la bureaucratie qui impose la définition et la recherche de pléthore d’objectifs et d’indicateurs auxquels il convient de se conformer. La créativité et l’esprit critique sont étouffés par la gestion. Et chacun de battre sa coulpe sur les gaspillages et les inerties dont il est coupable.

La Justice négligée


L’idéologie néolibérale engendre une normativité qui concurrence les lois du parlement. La puissance démocratique du droit est donc compromise. Dans la concrétisation qu’ils représentent des libertés et des émancipations, et l’empêchement des abus qu’ils imposent, le droit et la procédure sont désormais des obstacles.

De même le pouvoir judiciaire susceptible de contrarier les dominants doit-il être maté. La justice belge est d’ailleurs sous-financée ; en 2015, elle était la dernière d’un classement européen qui inclut tous les états situés entre l’Atlantique et l’Oural. En deux ans, le gouvernement a réussi à lui ôter l’indépendance que la Constitution lui avait conférée dans l’intérêt du citoyen afin qu’elle joue ce rôle de contre-pouvoir qu’il attend d’elle. Le projet est manifestement celui-là : qu’il n’y ait plus de justice en Belgique.

Une caste au-dessus du lot


La classe dominante ne s’administre pourtant pas la même potion qu’elle prescrit aux citoyens ordinaires car austérité bien ordonnée commence par les autres. L’économiste Thomas Piketty l’a parfaitement décrit dans son étude des inégalités et du capitalisme au XXIe siècle (Seuil 2013).

Malgré la crise de 2008, et les incantations éthiques qui ont suivi, rien ne s’est passé pour policer les milieux financiers et les soumettre aux exigences du bien commun. Qui a payé ? Les gens ordinaires, vous et moi.

Et pendant que l’État belge consentait sur dix ans des cadeaux fiscaux de 7 milliards aux multinationales, le justiciable a vu l’accès à la justice surtaxé (augmentation des droits de greffe, taxation à 21 % des honoraires d’avocat). Désormais pour obtenir réparation, les victimes d’injustice doivent être riches.

Ceci dans un Etat où le nombre de mandataires publics défie tous les standards mondiaux. Dans ce secteur particulier, pas d’évaluation ni d’études de coût rapportée aux bénéfices. Un exemple : plus de trente ans après le fédéralisme, l’institution provinciale survit sans que personne ne puisse dire à quoi elle sert. La rationalisation et l’idéologie gestionnaire se sont fort opportunément arrêtées aux portes du monde politique.

Idéal sécuritaire


Le terrorisme, cet autre nihilisme qui révèle nos faiblesses et notre couardise dans l’affirmation de nos valeurs, est susceptible d’aggraver le processus en permettant bientôt de justifier toutes les atteintes aux libertés, à la contestation, de se passer des juges qualifiés inefficaces, et de diminuer encore la protection sociale des plus démunis, sacrifiée à cet «idéal» de sécurité.

Le salut dans l’engagement


Ce contexte menace sans aucun doute les fondements de nos démocraties mais pour autant condamne-t-il au désespoir et au découragement ?

Certainement pas. Voici 500 ans, au plus fort des défaites qui ont fait tomber la plupart des Etats italiens en leur imposant une occupation étrangère de plus de trois siècles, Nicolas Machiavel exhortait les hommes vertueux à tenir tête au destin et, face à l’adversité des temps, à préférer l’action et l’audace à la prudence. Car plus la situation est tragique, plus elle commande l’action et le refus de «s’abandonner» (Le prince, chapitres XXV et XXVI).

Cet enseignement s’impose à l’évidence à notre époque où tout semble compromis. La détermination des citoyens attachés à la radicalité des valeurs démocratiques constitue une ressource inestimable qui n’a pas encore révélé, à tout le moins en Belgique, son potentiel d’entraînement et sa puissance de modifier ce qui est présenté comme inéluctable. Grâce aux réseaux sociaux et à la prise de parole, chacun peut désormais s’engager, particulièrement au sein des services publics, dans les universités, avec le monde étudiant, dans la magistrature et au barreau, pour ramener le bien commun et la justice sociale au cœur du débat public et au sein de l’administration de l’État et des collectivités.

Le néolibéralisme est un fascisme. Il doit être combattu et un humanisme total doit être rétabli.


Manuela Cadelli, présidente de l’Association Syndicale des Magistrats

De Le Soir

Siria llama a enviar fuerzas a Arabia Saudí a favor de los chiíes

El embajador sirio ante la ONU, Bashar al-Yafari, ha exigido al ente internacional y a los países islámicos que envíen fuerzas a Arabia Saudí a fin de proteger a la población chií. “La Organización de las Naciones Unidas (ONU) y los países islámicos deben enviar fuerzas para que estas puedan proteger a los residentes chiíes de Al-Qatif (en la provincia oriental saudí de Al-Sharqiya) frente a las represiones del régimen saudí”, ha afirmado este martes el diplomático sirio. El régimen wahabí, durante los últimos años, ha aumentado su represión contra los residentes de la región de Al-Qatif y, en particular, contra los de Al-Awamiya, ciudad natal del ejecutado clérigo chií el sheij Nimr Baqer al-Nimr.

La población chií en la citada región, de vez en cuando, sale a las calles para denunciar la política racista y represiva que adopta el régimen de Riad contra los grupos minoritarios, manifestaciones que, la mayoría de las veces, son reprimidas con mano dura por las fuerzas saudíes. Además, ya es algo habitual que vehículos blindados del Ejército saudí irrumpan, en una demostración de fuerza, en Al-Awamiya y abran fuego, de forma indiscriminada, contra vehículos y edificios en esta localidad.

Al respecto, el embajador sirio ante la ONU ha vuelto a denunciar que varios Estados del Consejo de Cooperación del Golfo (CCG-integrado por países árabes ribereños del Golfo Pérsico), incluida Arabia Saudí, quieren enviar fuerzas de tierra a Siria. “Eso ocurre al mismo tiempo que ellos todavía están involucrados en las discrepancias y conflictos religiosos y étnicos, y ni siquiera son capaces de controlar la situación interna”, ha sostenido Al-Yafari, quien ha rechazado el pretexto de la “lucha antiterrorista” para enviar tropas a Siria.

A su criterio, cierto número de países árabes en la región cuenta con un largo historial en silenciar voces opositoras de su pueblo reprimiendo cualquier demanda sobre democracia y derechos humanos, sin embargo, ahora “dicen que quieren traer libertad y democracia a la nación siria”. A principios del mes de febrero, el responsable de Arabia Saudí del Observatorio de los Derechos Humanos (HRW, por sus siglas en inglés), Adam Coogle, calificó de “oscura” la situación de los derechos humanos en el reino árabe y exigió a Occidente reaccionar al respecto.

mpv/anz/rba

Rusia confirma ataques desde Turquía y pide explicaciones a EEUU


El Ministerio de Defensa ruso informó que el Centro de Control del Alto el Fuego en Siria en la base de Hmemim recibió informaciones sobre ataques con artillería pesada desde el territorio turco contra la ciudad de Tal Abyad en el campo de Raqqa. Estas informaciones han sido corroboradas por varios canales, añadió. Asimismo informó que el Centro ruso ha contactado al centro estadounidense de reconciliación ubicado en Amán, para pedir explicaciones sobre los ataques al territorio de Siria desde Turquía.

Un detenido por abusos en un instituto de L'Ametlla del Vallès

Los Mossos d'Esquadra han detenido a un profesor de secundaria de L'Ametlla del Vallès (Vallès Oriental) como presunto autor de tres delitos de abusos sexuales a menores, según han confirmado la Conselleria d'Ensenyament y la policía catalana. Los Mossos recibieron una denuncia por parte de la dirección del colegio el pasado miércoles 24 de febrero. Las presuntas víctimas son dos chicos de 14 años y otro de 16 años.a los que habría tocado los genitales.

El docente, C.S.O., vecino de Barcelona de 58 años, que trabajaba en el instituto público Eugeni Xammar, fue detenido a primera hora de este lunes por agentes de los Mossos d'Esquadra de la comisaría de Granollers. Según ha informado el Tribunal Superior de Justicia de Catalunya (TSJC), el juzgado de instrucción número 4 de Granollers, en funciones de guardia, tomó declaración anoche al profesor. El juez acordó dejarle en libertad con cargos sin imponerle ninguna medida cautelar, de acuerdo con el criterio del Ministerio Fiscal, según el TSJC.

En este caso, y de acuerdo con el protocolo antiabusos que está en vigor desde el 2012, la dirección del instituto comunicó los hechos, en cuanto recibió la primera queja de un alumno, a los servicios territoriales de Ensenyament del Maresme-Vallès Oriental, que fueron quienes interpusieron la denuncia policial contra el docente. También se han sumado al caso las famlias de las tres presuntas víctimas, que han presentado otras tantas denuncias.

El profesor ha sido suspendido de su puesto de forma cautelar durante tres meses, mientras se resuelve la investigación policial, han indicado fuentes de la 'conselleria' que dirige Meritxell Ruiz, que insisten en recalcar que en esta ocasión las pautas de detección e intervención recogidas en el protocolo para proteger a los menores contra abusos sexuales "han funcionado como está previsto".

De El Periódico

El Parlament exigirá fortalecer las medidas antipederastia tras el escándalo de los Maristas


El debate sobre cómo atajar la pederastia, cómo detectar a una posible víctima, cómo actuar cuando se confirma que un niño ha sido víctima de abusos sexuales por parte de un adulto y cómo coordinar a todos los agentes encargados de proteger al menor, desembarca esta semana en el Parlament. Será con toda probabilidad el jueves, cuando el pleno de la Cámara catalana vote una moción presentada por la diputada Gemma Lienas, de Catalunya Sí que es Pot (CSP), y surgida a raíz del escándalo de los Maristas. La moción, que tiene altas probabilidades de ser aprobada, prevé reclamar a la Generalitat que, entre otras medidas, endurecezca los mecanismos para erradicar, de una vez por todas, los malos tratos cometidos contra menores.

CDC, Osàcar i Millet, a judici pel cas Palau

Els últims recursos presentats per Convergència Democràtica de Catalunya (CDC), l'extresorer del partit Daniel Osàcar i diversos empresaris no han reeixit i l'Audiència de Barcelona ha enviat a judici el cas de l'espoli del Palau de la Música, en el qual hi ha 16 acusats, entre ells el mateix Osàcar, l'expresident del Palau Fèlix Millet i la seva mà dreta, Jordi Montull. L'Audiència de Barcelona rebutja els últims recursos i apunta un desviament de fons "molt considerable" de Ferrovial cap a Convergència.

En l'acte conegut aquest dimarts, l'Audiència manté Convergència com responsable civil a títol lucratiu basant-se en l'existència de documentació, arxius informàtics i notes manuscrites que "permeten inferir, almenys de forma indiciària, l'existència d'un desviament de fons molt considerable de Ferrovial al partit", fundat per Jordi Pujol i liderat per Artur Mas. En el punt de mira de l'Audiència hi ha les obres de la línia 9 del metro de Barcelona, la Ciutat de la Justícia, un pavelló a Sant Cugat del Vallès i una séquia de l'Ebre.

Durant els pròxims dies, la Fiscalia i les acusacions particulars hauran de formular escrits d'acusació, de sobreseïment o de sol·licitud de diligències addicionals. La investigació es va tancar el passat mes de juliol, sis anys després de l'escorcoll d'aquesta institució, quan el quart instructor del cas va dictar l'obertura de judici oral.

De El Triangle

Urdangarin, darrere de les pujades constants en les factures del telèfon?

Per què la factura del telèfon sempre puja, encara que la companyia prometi un preu ‘per sempre’? És un misteri, però el digital El Español ha desvelat un dels possibles motius: Telefónica va pagar 1,4 milions d’euros a Iñaki Urdangarin només el 2010 per la feina de representar la companyia als Estats Units i l’Amèrica Llatina, quan ell havia assegurat al jutge que en cobrava 350.000 anuals. El marit de Cristina de Borbó va ostentar el càrrec durant quatre anys, així que la quantitat total podria haver arribat als 5,6 milions.

Tenia experiència Urdangarin en el sector de les telecomunicacions?

Urdangarin, la infanta i els seus fills van mudar-se a Nova York quan van sortir a la llum les primeres investigacions judicials del Palma Arena. Allà Telefónica el va nomenar conseller i president de la Comissió d’Assumptes Públics de la companyia a Llatinoamèrica i els Estats Units. Una decisió sorprenent, tenint en compte la nul·la experiència o formació que tenia en el món de les telecomunicacions. Mesos després, els rumors sobre les activitats irregulars del cunyat de l’actual Rei començaven a aparèixer, però Telefónica el va aguantar fins el 2012.

Se'ls mereixia, els 1,4 milions?


De moment no ha transcendit la quantitat total que es va embutxacar. Ell va dir al jutge Castro que els seus ingressos pujaven a uns 350.000 euros a l’any però segons els documents que El Español publica avui, va mentir perquè en només un any va guanyar 1,4 milions. Merescuts? Se suposa que havia de fer lobby i obrir portes de la companyia al continent americà, però les iniciatives impulsades per ell a Telefónica van ser escasses i fallides.

Qui hi havia darrere de la seva contractació?

I per què el van contractar i mantenir durant anys? La Casa Reial volia que el gendre de Juan Carlos tingués una feina fixa i deixés de ser intermediari per a diversos empresaris entre les administracions, cosa que havia estat fent a l’Institut Nóos, tal com ha explicat la pròpia companyia de telecomunicacions. Això demostra que el monarca ja feia temps que era conscient dels negocis tèrbols d’Urdangarin, però els va voler aturar quan va veure que podien arribar a la justícia.

De Directe.cat

Urdangarin dice no ser un "comisionista" y que tuvo trabajadores que no llegó a conocer


Iñaki Urdangarin, ante el tribunal que le juzga por el caso Nóos, no ha sabido responder si realmente existían empleados ficticios en Nóos Consultoría -la empresa que tuvo a medias con Torres- y se ha limitado a decir que "no debería ser" que contratara a este tipo de trabajadores. El fiscal Horrach ha preguntado también al marido de la infanta Cristina por los 300.000 euros que cobró la empresa Nóos Consultoría por llevar la oficina de seguimiento del patrocinio del equipo ciclista -un dinero que el fiscal considera una comisión al exduque de Palma por intermediar con el Govern balear-, Urdangarin ha negado cobrar comisión alguna: "En ningún momento se trataba de ningún peaje, de ninguna comisión ni de nada. Nunca he sido un comisionista de nada", ha dicho.

El hijo de Conde-Pumpido blanqueó 1,1 millones de una mafia de prostitución

El abogado Cándido Conde-Pumpido Varela, hijo del magistrado del Tribunal Supremo y exfiscal general del Estado Cándido Conde-Pumpido Tourón, ha blanqueado 1.091.892,75 euros de los negocios de prostitución del grupo criminal desarticulado en la operación Pompeya el pasado verano. Así consta en informes de inteligencia financiera remitidos al juez de la Audiencia Nacional Fernando Andreu. Fuentes del caso confirman a ABC que Cándido Conde-Pumpido, abogado de los proxenetas detenidos, puso a disposición de estos una sociedad de su propiedad, Gestión de Proyectos Integral Gimonde S.L., dedicada a actividades de arquitectura e interiorismo. Pumpido es el abogado de Ángel Crispín Gilaranz Velasco, presunto líder de la trama criminal.

Los terminales de punto de venta (TPV) del conocido prostíbulo Vive Madrid, en la calle Marqués de Viana, iban a favor de una cuenta bancaria de esta empresa. Así, cuando un cliente del local de alterne pagaba con tarjeta de crédito a través de los seis datáfonos del local, el dinero terminaba en la sociedad de Conde-Pumpido.

El letrado pactó quedarse con un diez por ciento de comisión por estos servicios, aunque finalmente fue casi un doce, en concreto 125.715 euros. Conde-Pumpido reintegró el resto, unos 966.000 euros, a sus clientes proxenetas. Lo hizo mediante transferencias y entregas en metálico. El mediático letrado está siendo investigado, al menos, por blanqueo de capitales y pertenencia a organización criminal, según confirman a ABC fuentes jurídicas.

Trata de seres humanos

Su papel es el de «activo colaborador de la organización criminal liderada por Gilaranz», revelan a este diario las fuentes consultadas. Otros delitos que se investigan incluyen la trata de seres humanos para la prostitución y fraude a la Hacienda pública.

Gestión de Proyectos Integral Gimonde, cuyo administrador único es Cándido Conde-Pumpido Varela, ingresó esos casi 1,1 millones de euros durante los meses de julio y agosto de 2015. La banda criminal acababa de ser desarticulada en la operación Pompeya, por lo que el abogado puso a disposición de los proxenetas la sociedad de su propiedad hasta que crearan otra estructura para poder seguir con sus actividades.

En esos dos meses se contabilizaron 455 operaciones con tarjeta de crédito a favor de una cuenta de la empresa en el BBVA. A instancias del juez, la entidad bancaria requirió información a Conde-Pumpido hijo sobre la actividad económica de la sociedad, el origen de los ingresos y el destino de los fondos, con un plazo de quince días. El abogado no respondió, por lo que el BBVA bloqueó la cuenta.

A la vista del bloqueo, que tuvo lugar el 25 de agosto del pasado año, según fuentes de la investigación, Conde-Pumpido se personó en la sucursal y explicó que estaba prestando de forma «temporal» servicios de gestión de cobro a través de los TPV de un «grupo de restaurantes y locales de ocio» que, según su versión, tenían «dificultades para realizar los cobros por sí mismos», una explicación que resultó poco convincente.

El hijo del magistrado de la Sala Segunda del Tribunal Supremo mostró un contrato con la mercantil Edca Madrid 2000 S.L., que manejaba los restaurantes La Embajada y El Rincón de Tetuán, el Café América y la «discoteca Vive Madrid». La investigación de la Brigada de Blanqueo de Capitales de la Policía Judicial acreditó que los fondos provenían básicamente de la citada «discoteca», eufemismo de uno de los prostíbulos más conocidos de Madrid, en el que ejercen alrededor de 200 prostitutas. Todos los cargos con tarjeta que terminaban en la cuenta de la empresa de Conde-Pumpido se realizaron entre las 00:30 y las 06:30, lo que enseguida descartó que fueran menús de restaurantes. De hecho, no hay ni una sola transacción con horario de mediodía. Además, en la mayor parte de ellos se repite el mismo importe y sus múltiplos: 121, 242 y 484 euros, lo que apunta a que se trata de tarifas de las prostitutas.
Inteligencia financiera

En ocasiones, según refleja el informe de inteligencia financiera entregado al juez, la misma tarjeta se utilizaba varias veces a lo largo de la madrugada. Según las fuentes consultadas, ya existe una pieza separada de la operación Pompeya que está investigando estos hechos en el Juzgado Central de Instrucción número cuatro de la Audiencia Nacional.

Además de con Ángel Crispín Gilaranz, Conde-Pumpido mantiene relación profesional con Víctor Manuel de la Fuente, el responsable de gestionar las sociedades intermedias de la trama que servían para tramitar los cobros de los burdeles. Se trata de un complejo entramado empresarial cuyo objetivo era dificultar y entorpecer posibles investigaciones policiales, confirman a ABC fuentes conocedoras del caso.

Las primeras conclusiones de la investigación sitúan a la sociedad de Conde-Pumpido dentro de este «entramado criminal». Gestión de Proyectos Integral Gimonde fue constituida el 3 de enero de 2006 con el capital social mínimo, 3.012 euros. Cándido Conde-Pumpido Varela suscribió prácticamente el 95 por cien de las acciones (el 94,62, para ser exactos), mientras que su hermano Roi se quedó con el 4,98 por cien. El 0,40 por ciento restante es de Raquel Ruiz Sánchez, según refleja el acta de constitución de la sociedad, depositada en el Registro Mercantil.

Además de actividades de arquitectura y diseño de interiores, Gimonde S.L. declaró en su objeto social la «adquisición de terrenos, urbanización, parcelación, uso, venta (...) o cualquier otra forma de explotación de los mismos». La mercantil tiene su domicilio social en la calle Saliente de Madrid, cerca del Parque del Retiro.

En julio de 2015, coincidiendo con el inicio de las actividades de pago electrónico en burdeles, Conde-Pumpido registró un cambio de actividad en la empresa para «facilitar a clientes el anticipo de efectivo contra tarjeta de crédito en casinos, clubes y bares». La Agencia Tributaria está investigando las cuentas de Conde-Pumpido así como las de la empresa utilizada para los datáfonos y las de su bufete. Todo apunta a que el hijo del exfiscal general del Estado será imputado por su participación en esta trama criminal, una vez que se haya recabado toda la información fiscal y sea remitida al juez.

Cándido Conde-Pumpido Varela ganó popularidad al encargarse de la defensa del juez Elpidio Silva, ya inhabilitado por prevaricar en la investigación a Miguel Blesa, expresidente de Caja Madrid. El hijo del que fuera fiscal general del Estado en tiempos de José Luis Rodríguez Zapatero abandonó la defensa de Silva tras un agrio enfrentamiento entre ambos.

De ABC

Un AVE de 750 milions per 30 persones, a Zamora

Renfe ha transportat 30 passatgers en el primer viatge de l'AVE Zamora-Madrid, estrenat aquest dijous. La nova infraestructura, de 107 quilòmetres entre Olmedo i Zamora, ha suposat una despesa de 750 milions d'euros i se suma als trens que l'Alta Velocitat ja oferia en la línia fins a Valladolid. La inauguració arriba tres mesos després de l'estrena d'un altre AVE entre Palència i Lleó, el passat 30 de setembre. L'estat espanyol encara té previst estendre la xarxa d'Alta Velocitat per connectar Burgos, Granada, Castelló i Múrcia.

La posada en marxa de la línia s'ha fet a pocs dies dels comicis espanyols del 20-D, quan les inauguracions no estan permeses. Per això, ha començat a funcionar sense cap acte protocol·lari. L'Estat amplia d'aquesta manera -encara més- els 3.000 quilòmetres de vies d'Alta Velocitat i es consolida com la segona més llarga del món, després de la Xina. Ara bé, una altra cosa és que sigui rendible.

De Nació Digital

El Parlament exigirá fortalecer las medidas antipederastia tras el escándalo de los Maristas

El debate sobre cómo atajar la pederastia, cómo detectar a una posible víctima, cómo actuar cuando se confirma que un niño ha sido víctima de abusos sexuales por parte de un adulto y cómo coordinar a todos los agentes encargados de proteger al menor, desembarca esta semana en el Parlament. Será con toda probabilidad el jueves, cuando el pleno de la Cámara catalana vote una moción presentada por la diputada Gemma Lienas, de Catalunya Sí que es Pot (CSP), y surgida a raíz del escándalo de los Maristas. La moción, que tiene altas probabilidades de ser aprobada, prevé reclamar a la Generalitat que, entre otras medidas, endurecezca los mecanismos para erradicar, de una vez por todas, los malos tratos cometidos contra menores.

"El problema no es que los dos protocolos oficiales que existen actualmente, el documento marco del Síndic de Greuges del 2006 y el protocolo específico de Ensenyament del 2012, sean insuficientes, no... De lo que se trata es de que sean de obligado cumplimiento, que una administración o una entidad no pueda decir que un caso de abusos no le atañe porque no conocía el protocolo", señala Lienas, que estos días se encuentra negociando con el resto de grupos políticos sobre las posibles enmiendas a su propuesta.

"En lo fundamental, que es el esfuerzo extraordinario que hay que hacer para garantizar la protección de los menores, creo que estamos todos de acuerdo, que encontraremos las complicidades suficientes", indica Josep Maria Forné, el diputado de Junts pel Sí (JxSí) que se encargará de exponer la postura de su grupo en el pleno del Parlament.

A la espera de concretar sus aportaciones a la moción de CSP, Forné señala que una de las preocupaciones de JxSí pasa, por ejemplo, por "mejorar la coordinación administrativa" cuando se detecta un caso de pederastia en el ámbito educativo. Con todo, precisa el diputado, "no hay que perder de vista que los abusos a menores no se producen ni principalmente ni mayoritariamente en las escuelas", y recuerda que "el 80% de los casos siguen registrándose, lamentablemente, en el ámbito familiar".

Sea como fuere, apostilla Laura Vílchez, diputada de Ciudadanos y portavoz de su grupo en el área de Infancia, "hay muchos asuntos por resolver en torno a la pederastia, como por ejemplo qué pasa cuando el abusador de un menor está en el colegio, o por qué se conoce tan poco el protocolo de Ensenyament, por mucho que diga la 'consellera' que el documento se envía cada inicio de curso a todas las escuelas". "¿O quién sabe de la existencia del teléfono Infància Respon, que la dirección general de Infància de la Generalitat ha habilitado para que se denuncien casos de malos tratos a menores?", agrega.

"Hay que terminar con el silencio que rodea a estos temas, un silencio que da miedo", subraya Vílchez, que coincide con la denuncia del Síndic de Greuges, Rafael Ribó, de que en el caso del pederasta confeso Joaquim Benítez, "los protocolos han fallado estrepitosamente". Su partido, Ciudadanos, apuesta por que la revisión de esos documentos incida, de forma especial, "en incluir sistemas de prevención desde las etapas escolares más tempranas" y por invertir "en una mayor formación de los profesores sobre estos temas".

Romper el tabú de los abusos sexuales a menores es también uno de los propósitos de la moción. "Un 85% de esos abusos se producen en espacios de confianza para el niño, principalmente en casa, pero también en la escuela, en clubs deportivos, en campamentos y colonias o en clases de catequesis, porque son lugares donde, si una persona tiene tendencias pederastas, puede acceder más fácilmente a sus víctimas. Y hay que poner fin a eso", clama la diputada Lienas, que pide "una especial atención para menores con discapacidad intelectual o problemas de salud mental, ya que son una población de riesgo".

La moción de CSP prevé, asimismo, que profesores, educadores, monitores o catequistas "tengan la seguridad jurídica necesaria para denunciar un caso", indica la parlamentaria. Ahora, prosigue, "estos trabajadores se encuentran, muchas veces, ante cierta indefensión, ya sea porque se juegan el empleo o porque los trámites son tan farragosos que se corre el riesgo de que acaben desistiendo". Lienas también reclama que se fijen, por escrito, las sanciones contra quienes incumplan los protocolos.

Investigan a uno de los principales asesores del papa por encubrir a curas pederastas


El cardenal australiano George Pell, el principal asesor financiero del papa Francisco, testificará este lunes a través de una videoconferencia desde Roma ante la Comisión Real sobre la Respuesta Institucional a los Abusos Sexuales de Menores de Australia, informa el periódico 'Herald Sun'. El cardenal, prefecto de la Secretaría de Economía de la Santa Sede, ha sido acusado de manejar mal o encubrir casos de abusos cuando ejercía como sacerdote y arzobispo entre los años 70 y 80 en la ciudad australiana de Ballarat. Pell fue citado por la Comisión Real en relación a varios casos denunciados en esa ciudad y también en Melbourne, donde fue arzobispo desde 1996 hasta 2001. Pell estuvo al frente de la Iglesia de Australia hasta que el papa Francisco lo nombró como primer Prefecto de la Secretaría de Economía de la Santa Sede en 2014.

España registró el año pasado la mayor salida de capitales desde 2012

La financiación a la economía española se redujo en 70.200 millones en 2015, según los datos de la balanza de pagos que publicó este lunes el Banco de España. Es la mayor salida de capitales desde la crisis de deuda europea en 2012, cuando la incertidumbre sobre la continuidad del proyecto del euro llevó a los inversores a restringir bruscamente su exposición a los países más cuestionados entonces, como España. La aversión al riesgo que domina los mercados desde la segunda mitad de 2015 y las compras en el extranjero de inversores españoles revierten ahora una tendencia favorable en los dos años anteriores.

Desde junio del año pasado, las salidas de capital dominan claramente a las entradas de financiación en la economía española. Aquel mes marca la mayor salida neta de recursos en 2015, 21.957 millones de euros, que también fue muy pronunciada en diciembre (19.011 millones).

En la segunda mitad de 2015, ante la incertidumbre sobre el crecimiento económico mundial y el anuncio de que la Reserva Federal de EE UU iba a subir tipos de interés, inversores y prestamistas empezaron a retirarse de las operaciones que consideran más arriesgadas y optaron por valores refugio. Así, las Bolsas acumularon caídas notables, mientras la cotización del oro o las compras de deuda pública alemana y estadounidense se aceleraron.

Sube la aversión al riesgo

En este contexto, invertir en activos financieros españoles volvió a considerarse una operación de riesgo, antes incluso de que las elecciones generales del 20 de diciembre legaran un Parlamento fragmentado que suma una importante dosis de incertidumbre política. En otoño, grandes bancos internacionales advertían de que decisiones de inversión en España se congelaban. Ahora, fuentes de varios despachos de abogados aseguran que los grandes patrimonios han procedido a movilizar capitales ante el aumento de la incertidumbre. Un movimiento en el que pesan también los planes de algunos partidos (PSOE, Ciudadanos y Podemos) para subir impuestos a estas fortunas.

La retirada de recursos financieros en 2015 fue muy voluminosa, pero todavía bastante inferior a la de 2012 (170.500 millones), e incluso a la de 2011 (79.000 millones), cuando la crisis de deuda europea encendió las alarmas de los inversores.

En 2015, la mayor reducción de financiación corresponde a lo que se denomina “otras inversiones”, que incluyen préstamos y depósitos. Aquí, los inversores extranjeros recortaron su posición en 32.300 millones, mientras que los inversores españoles aumentaron su financiación al exterior en 16.600 millones, lo que también es una salida de recursos.

En las inversiones de cartera (la compraventa de acciones y otros títulos), el balance anual es casi nulo: los inversores españoles aumentaron sus compras fuera (salida de capital de 55.900 millones) casi tanto como inversores extranjeros subieron sus compras aquí (55.200 millones). Por último, en las inversiones directas también aumentaron las compras de residentes españoles en el extranjero (41.700 millones de salida de capital), mientras que los inversores extranjeros elevaron en 20.300 millones su posición.

En general, predominaron las salidas de inversión española al extranjero, más que la retirada de inversores extranjeros, algo que tiene que ver también con la acumulación de ahorro generado por empresas y familias españolas en los tres últimos años.

De estas cuentas se excluye la operativa del Banco de España, que en 2015 canalizó las compras de títulos que puso en marcha el Banco Central Europeo. En conjunto, la financiación exterior al Banco de España aumentó en 40.571 millones, que computarían como entrada de capital.

De El País

Arnaldo Otegi sale de prisión: "La paz es el camino", dice Otegi

Otegi ha abandonado la prisión de Logroño a las 08.55 horas, entre aplausos y vítores de las cerca de 200 personas que han acudido a recibirle, entre las que figuran su mujer, su hijo y su padre. El diputado de Junts Pel Sí LLuís Llach, que esperaba a la salida de la prisión a Otegi ha dicho que el dirigente será una "persona importantísima en el futuro de Euskadi". "Será una de las voces que se tendrán que escuchar en el futuro, pese a los que le han puesto en la prisión de la manera en la que lo han puesto". Hasta aquí las declaraciones de Arnaldo Otegi después de su salida de la prisión de Logroño, rodeado de una máxima expectación política: "El mejor lehendakari, el pueblo". No se pronuncia sobre su aspiración política y dice que ese papel lo tiene el pueblo. "La paz es el camino", dice Otegi.

Otegi: "Cuando nos metieron en la cárcel nos metieron como vascos y como vascos salimos. Nos metieron como independentistas y como independentistas salimos". Arnaldo Otegi: "aquí no habría todos estas cámaras si no supieran que aquí hoy sale un preso político como en muchas cárceles españolas".

Otegi: "Salimos como más independentistas aún. En España si existen presos políticos".

09:17: Arnaldo Otegi pronuncia sus primeras palabras después de su salida de la cárcel de Logroño. Expectación internacional en la salida de la cárcel de Otegi, 'The New York Times' ha publicado una entrevista con el líder aberzale, en ella Otegi admite que quiere presentarse a las elecciones vascas y optar a ser lendakari.

09:13: La previsión es que Otegi pronuncie unas palabras a quienes han acudido a recibirle, para lo que Sortu, partido del que ha sido secretario general desde la prisión, ha colocado un atril en las inmediaciones de la cárcel, en donde se encuentran cerca de un centenar de periodistas. Uno de sus primeros abrazos de Arnaldo Otegi ha sido con su hijo, mientras que algunos de los asistentes gritaban en euskera "independencia".

#OtegiFree | Primeras declaraciones de Arnaldo Otegi

Posted by Ahotsa on dimarts, 1 / març / 2016

Numerosas ikurriñas y pancartas de bienvenida y a favor del acercamiento de los presos etarras al País Vasco han recibido a Otegi al salir del centro penitenciario logroñés, donde ha permanecido seis años y medio por tratar de reconstruir la ilegalizada Batasuna bajo las órdenes de ETA. A las puertas de la prisión se han apostado efectivos de Policía Nacional y Guardia Civil. Poco antes de dejar la prisión se ha podido ver por una ventana como otros presos se despedían de Arnaldo Otegi mostrando una camiseta de la Real Sociedad.

También han acudido históricos como Tasio Erkizia, Joseba Álvarez, Pablo Gorostiaga e Iñigo Iruin, Joseba Permach; y el secretario general de EA, Pello Urizar. Hasta Logroño se han desplazado miembros de las CUP como la diputada Anna Gabriel y el exportavoz en el Parlament David Fernández, y los cantantes Fermín Muguruza y Lluís Llach.

Además de su familia, a la salida de la cárcel le esperaban varios dirigentes abertzales, entre ellos el presidente de Sortu, Hasier Arraiz; el exdiputado general de Guipúzcoa, Martin Garitano; y otros representantes de la izquierda abertzale, como Joseba Permach, Pernando Barrena, el diputado vasco Iker Casanova, Miren Zabaleta --condenada por la misma causa que Otegi que salió de prisión el pasado octubre--. Entre los congregados está también el expreso de ETA Josu Zabarte, (conocido como el 'Carnicero de Mondragón').

09:04: Otegi ha cumplido seis años y medio de prisión, condenado por intentar reconstruir la ilegalizada Batasuna por orden de ETA. Al salir de prisión, completamente vestido de negro, se ha fotografiado con su padre y con su hijo. El dirigente de la izquierda abertzale Arnaldo Otegi ha abandonado la prisión de Logroño a las 08.55 horas, ante más de un centenar de personas que le han recibido portando ikurriñas y con gritos de "independencia" y "presos vascos a la calle".

Saludando a todos los asistentes, mientras camina hacía el atril dispuesto para que haga sus primeras declaraciones tras salir de la cárcel.

09:01: Se abraza Otegi en su salida a sus familiares y amigos que lo estaban esperando en la puerta, entre ellos Lluis Llach.

09:00Arnaldo Otegi acaba de salir de la prisión de Logroño después de 2.331 días encarcelado.

Otegi sale de la cárcel de Logroño (@sortuEH)

08:57 ÚLTIMA HORA: Otegi sale de la prisión de Logroño tras seis años y medio encarcelado.